En partant de ce point de vue et du fait que nos pensées sont ENERGIE, nous pouvons déduire que ceux sont elles qui influencent la matière. Une des métaphores que Transurfing invite à imaginer est de « marcher dans un supermarché, la nuit, avec une lampe frontale ». Tout est noir, mais seule la zone qu’éclaire la lampe devient réelle. Le supermarché dans le noir, c’est l’espace des variantes, c’est-à-dire le champ énergétique d’information, la matrice à partir de laquelle se crée notre réalité matérielle. Cette comparaison du supermarché que Vadim Zeland utilise nous fait comprendre cette espace, où nous n’avons qu’à faire le choix de ce nous voulons, avec une seule règle : ne pas rejeter ce qui s’y trouve. Imaginez-vous dans une galerie d’exposition, en train de faire un scandale sur une oeuvre qui vous répugne, et vous pouvez imaginer les conséquences musclées… En fait, vous n’avez qu’à changer de salle, point. Transurfing nous propose d’adopter consciemment la position d’observateur, observateur de notre ressenti (traduction corporelle de nos émotions et de notre intuition) et observateur de nos rôles dans la vie (demandeur, offensé ou guerrier). C’est de cette façon que nous pouvons apporter une réponse – et non une réaction émotionnelle – à tous les événements que la vie nous envoie.Une façon, en fait, d’appliquer le libre arbitre pour donner un sens positif à tout ce qui se passe: ‘’en quoi ces événements me permettent de progresser, de grandir, et surtout, quels sont les éléments qui sont à l’origine de ce qui m’arrive aujourd’hui ?’’ Car c’est ainsi… En considérant que le monde est notre miroir, Transurfing nous apporte des éléments concrets sur ce qui perturbe notre réalité, sur ce qui nous empêche d’obtenir ce que nous désirons réellement.