Tout commence par la notion d’EQUILIBRE. Dans la nature, tout est équilibre ; équilibre dynamique, puisque tout mouvement tend vers l’équilibre. Dès qu’un déséquilibre apparaît – ce que Vadim, avec son langage de physicien nomme potentiel en excès – la nature fait tout pour rétablir l’équilibre avec des forces d’équilibrage, comme par exemple, le vent qui équilibre la pression atmosphérique, ou les tremblements de terre en ce qui concerne la pression tectonique. Comme vous pouvez le constater, les forces d’équilibrage peuvent être extrêmement violentes. Continuons. Pour la nature, un être humain n’a pas plus d’importance qu’un lingot d’or ou qu’un brin d’herbe. C’est l’homme qui attribue ces valeurs. En repartant du principe que notre pensée est énergie, dès que nous attribuons trop d’importance à quoi que ce soit – un défaut, une relation, un objet, une situation – nous créons alors un potentiel en excès qui déclenche le vent des forces d’équilibrage, et nous recevons alors un coup dans le nez qui n’a pour but que de rétablir l’équilibre : ‘’calme-toi avec ton importance !’’… Les forces d’équilibrages nous projettent contre ce dont nous ne voulons pas, ou nous privent de ce que nous voulons.