Prenons quelques exemples : Les balanciers pharmaceutiques diabolisent les virus et bactéries pour vendre vaccins et médicaments. Les balanciers médiatiques utilisent toutes les cordes émotionnelles pour nous divertir – ce qui étymologiquement signifie nous détourner de l’essentiel ; les balanciers financiers nous font croire que l’argent est rare pour endetter individus et états ; les balanciers étatiques jouent sur la peur de l’étranger pour nous envoyer en guerre, les balanciers nucléaires et pétroliers dissimulent l’énergie libre et non polluante découverte par Nicolas Tesla en 1930, pour nous la vendre à prix d’or, etc… Tous ces actes se font au détriment de l’individu, de la collectivité, et de la planète… Comment vous sentez-vous en lisant ce paragraphe ? Passif ? En colère ? Revendicateur ? Transurfing identifie trois rôles déterminants dans la création de notre réalité : le demandeur qui se laisse ballotter comme un bateau en papier sur les vagues, l’offensé qui se plaint et se considère victime de tout, et le guerrier, pour qui la vie n’est qu’une bataille incessante pour obtenir quelque chose. Chacun de ces rôles crée une réalité : le demandeur n’a jamais rien, l’offensé, de plus en plus de griefs, et le guerrier, de plus en plus d’obstacles… Face à ces rôles, Transurfing recommande la position de l’observateur, seul moyen de coordonner l’intention, c’est-à-dire, pour utiliser une image, la « fréquence » de nos pensées qui crée notre réalité en s’accordant à des secteurs de l’espace des variantes. Dans ce secteur, il peut y avoir tout ce que je veux, ou son contraire… Tout dépend de la direction de NOTRE intention, dont nous n’avons le plus souvent pas conscience…